L'évolution actuelle en mode accéléré de la géopolitique mondiale s'inscrit dans ce que l'auteur prône depuis très longtemps! L'humain en chacun d'entre nous ne sera libre qu'à partir du moment où il/elle connaitra la vérité. Mais, est-ce possible avec les frustrations de la raison un peu partout et la géopolitique mondiale en grand bouleversement ?
C'est cette recherche de la vérité qui habite l’auteur, à partir de son vécu, depuis les premières lignes du premier roman et même du premier livre qu’il a écrit en 2013. Pendant toute la durée de l'écriture de ce quatrième roman, un roman thriller politique de 405 pages, ce brûlant désir l'a toujours insatiablement incité à rechercher la vérité. En effet, depuis 40 ans qu’il écrit, à une faculté ou à une autre, sur un sujet ou sur un autre, il a toujours eu l'impression que les victimes, pour se défendre, se transforment très vite en agresseurs et en oppresseurs à leur tour.
Avec l'île imaginaire de l'Absurdistan, ce sentiment s'est figé en lui d'un roman à l'autre. Pour tout oublier, car se souvenir est trop douloureux, les victimes se transforment en plus arrogants agresseurs et oppresseurs au grand bonheur de leurs propres bourreaux. Ainsi, au fil du temps, le paysage de l'île de l'Absurdistan est de plus en plus infesté d'agresseurs et d'oppresseurs de toutes natures. Au fil des ans, c'est devenu un réseau dont les tentacules se trouvent solidement ancrées dans les moindres recoins de la vie sur l'île de l'Absurdistan. Le silence est la seule règle que chaque membre du réseau vil est strictement respecté. Enfin bref, l'Omerta ! Plus une personne a des victimes derrière elle, plus elle est puissante socialement, économiquement et politiquement. Cela semble absurde, mais c'est ainsi.
Comme avec les trois premiers romans, le quatrième roman l'a libéré de plusieurs de ses fardeaux. Ce quatrième roman l'a fait mieux qu’il ne l'était. L’auteur espère qu'il sera en mesure de vous faire voir et de sentir ce qu’il a vu, senti et vécu tout au long de son écriture, et que vous franchirez, vous aussi, la dernière étape vers le délestage de vos lourds fardeaux.
S'il y a une chose dont il est sûr et certain à présent, c'est qu'il y aura une suite à L’ENFER DU NON-ÊTRE.
L'idée avec Tuer, en dernier recours, un roman thriller politique de 405 pages, est partie de tout et de rien pour finir par donner ne serait-ce que le début d'une réponse à une pertinente question que personne, alors là absolument personne, ne veut aborder : Comment peut-on se débarrasser de toutes les vieilles crapules, pour bien stopper la captation de l’État, au détriment de la population, sur cette ile fictive de l'Absurdistan?
L'auteur va même plus loin et fait une profonde incursion dans les relations fortement et forcément viciées entre les communautés indo-pakistanaises et les politiciens locaux, inspirés de faits réels, mais projetés sur l'île fictive de l'Absurdistan. Cette délicate incursion va l'amener dans les sombres dédales de la réelle corruption de haut niveau et les vraies relations d'amour-haine dans cette situation viciée. Et surtout, ce qui en résulte lorsqu'un ambitieux jeune colonel, devenu Chef d'État, se donne comme mission de réussir des réformes, jamais osées auparavant sur l'île, combinées avec des ajustements structurels contraignants. Mais le changement de paradigme rencontre tellement d'obstacles que le colonel Habibou Rangola est obligé, avec son compagnon de mission, le lieutenent-colonel César Rabe, de procéder, en dernier recours, à des actions de nettoyage en profondeur. Et ce, à titre préventif, tant sur l'île fictive de l'Absurdistan qu'à l'extérieur de ses frontières. Les adversaires du jeune et intrépide Chef d'État ne resteront pas les bras croisés et mettront, à la moindre occasion, des bâtons dans les roues du régime de transition.
Tuer, en dernier recours vous transporte d'une intrigue à une autre et d'un pays à un autre. Dans tout cela, l'auteur vous amène, en plus de 400 pages, dans des circonstances abracadabrantes où la vie ne tient qu'à un fil et la politique sur l'ile de l'Absurdistan, malheureusement, à l'avidité humaine.
NUANCES DU MAL
Par Jean Razafindambo
Roman thriller politique inspiré de faits réels
Effets cathartiques par représentation dramatique. C'est l'idée que l'auteur avait en tête pour mieux expliquer sa démarche vers le roman. C'est une approche qui existe, soit dit en passant, depuis Aristote en 384 avant le Christ. On parle également de suspension de l'incrédulité (suspension of disbelief, en anglais). De fil en aiguille, le roman a pris vie ainsi.
Amilcar Ramirango est un catholique pratiquant, un homosexuel condamné à ne jamais sortir du placard, un vrai homme d’affaires très impitoyable, un aspirant politicien, un membre d’une loge maçonnique, un citoyen engagé, un mari dans le sens conventionnel du terme et un père de famille modèle. C’est beaucoup pour un seul homme!
Le roman est la chronique des tourments absurdes d’un pays éloigné du réel et rapproché du fictif. À la fin de la démarche, l'auteur a réalisé que la réalité peut toujours dépasser la fiction. Cependant, la splendide douceur de l'amour et de l'amitié a repris ses droits dans le livre. Ne sommes-nous pas plus forts ensemble, sans être d’accord sur tout dans le fond et la forme?
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