Signed in as:
filler@godaddy.com
Signed in as:
filler@godaddy.com
L'idée avec Tuer, en dernier recours est partie de tout et de rien pour finir par donner ne serait-ce que le début d'une réponse à une pertinente question que personne, alors là absolument personne, ne veut aborder : Comment peut-on se débarrasser de toutes les vieilles crapules, pour bien stopper la captation de l’État, au détriment de la population, sur cette ile fictive de l'Absurdistan?
L'auteur va même plus loin et fait une profonde incursion dans les relations fortement et forcément viciées entre les communautés indo-pakistanaises et les politiciens locaux, inspirés de faits réels, mais projetés sur l'île fictive de l'Absurdistan. Cette délicate incursion va l'amener dans les sombres dédales de la réelle corruption de haut niveau et les vraies relations d'amour-haine dans cette situation viciée. Et surtout, ce qui en résulte lorsqu'un ambitieux jeune colonel, devenu Chef d'État, se donne comme mission de réussir des réformes, jamais osées auparavant sur l'île, combinées avec des ajustements structurels contraignants. Mais le changement de paradigme rencontre tellement d'obstacles que le colonel Habibou Rangola est obligé, avec son compagnon de mission, le lieutenent-colonel César Rabe, de procéder, en dernier recours, à des actions de nettoyage en profondeur. Et ce, tant sur l'île fictive de l'Absurdistan qu'à l'extérieur de ses frontières. Les adversaires du jeune et intrépide Chef d'État ne resteront pas les bras croisés et mettront, à la moindre occasion, des bâtons dans les roues du régime de transition.
Tuer, en dernier recours vous transporte d'une intrigue à une autre et d'un pays à un autre. Dans tout cela, l'auteur vous amène, en plus de 400 pages, dans des circonstances abracadabrantes où la vie ne tient qu'à un fil et la politique sur l'ile de l'Absurdistan, malheureusement, à l'avidité humaine.
NUANCES DU MAL
Par Jean Razafindambo
Roman inspiré de faits réels
Effets cathartiques par représentation dramatique. C'est l'idée que l'auteur avait en tête pour mieux expliquer sa démarche vers le roman. C'est une approche qui existe, soit dit en passant, depuis Aristote en 384 avant le Christ. On parle également de suspension de l'incrédulité (suspension of disbelief, en anglais). Le roman a pris vie ainsi.
Amilcar Ramirango est un catholique pratiquant, un homosexuel condamné à ne jamais sortir du placard, un vrai homme d’affaires très impitoyable, un aspirant politicien, un membre d’une loge maçonnique, un citoyen engagé, un mari dans le sens conventionnel du terme et un père de famille modèle. C’est beaucoup pour un seul homme!
Le roman est la chronique des tourments absurdes d’un pays éloigné du réel et rapproché du fictif. À la fin de la démarche, l'auteur a réalisé que la réalité peut toujours dépasser la fiction. Cependant, la splendide douceur de l'amour et de l'amitié a repris ses droits dans le livre. Ne sommes-nous pas plus forts ensemble sans être d’accord sur tout?
Copyright © 2022 Jean Razafindambo - Tous droits réservés pour tous les pays.
Site propulsé et sécurisé sur le Web par GoDaddy
Nous utilisons des «cookies» pour analyser le trafic sur ce site Web et pour optimiser votre expérience sur le site Web. En acceptant notre utilisation des cookies, vos données seront agrégées de manière anonyme avec toutes les autres données des l'utilisateurs. Nous respectons la confidentialité des renseignements exigée par la loi canadienne.