Le roman s'ouvre sur la belle animation d'une fête dans une somptueuse et vaste demeure où se déroule une histoire de viol collectif sur une fille d'à peine 18 ans. Aussi terrifiante et traumatisante que puisse être une telle histoire, cela se passe presque tous les jours en Absurdistan et en toute impunité! Et n'oubliez pas que le roman est une oeuvre de fiction mais inspiré de faits réels! Vous savez, cela ne nous dit peut-être plus grand chose, mais, je vous le dis quand même, rien ne peut être plus incroyable que la vérité et plus croyable que le mensonge!
Le roman peut se lire comme un film d’action. Cependant, l'observation de l’art de la combine, de l'arnaque et de la manipulation pratiquée assidûment par la classe politique absurdane et ses acolytes a amené l'auteur à réfléchir, à se poser des questions et à faire des recherches sur la nature et l’exercice du pouvoir dans ce pays. L'auteur s'y attarde tout au long du roman. Le coeur de l’histoire se déroule sur l’île de l’Absurdistan et vous fait voyager aux quatre coins de ce pays où l’enfer se mélange plutôt bien au quotidien avec le paradis. Vous pouvez passer, sans transition, de l’enfer au paradis et vice-versa dans ce pays. Et, bien malin est celui ou celle qui peut prédire quand cela va se produire d'une intrigue à l'autre! Les personnages du roman sont principalement des Absurdans. C'est-à-dire, des personnes originaires de l'Absurdistan. Mais les actions se déroulent sur quatre continents. Le roman vous fait alors voyager tantôt de l’Absurdistan à Singapour, tantôt de Dubai à Paris, tantôt de Port-au-Prince à Bruxelles en passant par Montréal, Toronto, Nairobi, Maputo, Lusaka, le Caire, Shanghai, Beyrouth, Amsterdam, Rome et Palerme. Sans oublier le Canal de Suez où doit passer une grosse cargaison d'or, en provenance de l'Absurdistan, transportée clandestinement sur un porte-conteneurs grec battant pavillon panaméen, commandé par un Sicilien. Les pirates somaliens vont s'en mêler dans le but de s'accaparer de la cargaison d'or en lingot dont la livraison est prévue au port de Toronto à des représentants d'une banque basée à Hong Kong. Sans parler des 700 kilogrammes d'or en lingots en provenance de l'Absurdistan qui disparaissent en plein centre ville d'Amsterdam après une attaque bien organisée par des professionnels lourdement armés! C’est pour vous dire que l’or de l’État de l’Absurdistan suscite beaucoup de convoitises. Et c'est encore peu dire!
Il y a des petits joueurs comme il y a de grands joueurs dans ce jeu dangereux de l’argent, de la mort et de l’omerta. La politique, la diplomatie et les finances internationales couchent sans aucun scrupule avec les sociétés secrètes, les réseaux informels des démarcheurs en tout genre et les gangs de motards du crime organisé spécialisés dans le blanchiment d'argent. Tout ce beau monde collabore en toute impunité dans le roman avec le terrorisme international d'obédience islamique radicale pour sortir de l'Absurdistan de l'uranium pur destiné à des fins pas très catholiques. Au bout du compte, cela donne des revirements tout à fait inattendus, irréels qu’explosifs. L’occasion fait alors le larron! Mais un larron peut mourir! Surtout si le larron en question a aux trousses une organisation secrète chinoise de type mafieux nommée Triades!
En Absurdistan, pouvoir, force, richesse, virilité et violence gratuite sont les cinq points mammaires de la lactation du succès. Amilcar Ramirango, le personnage principal du roman, a compris cela depuis son jeune âge. Cela va seulement l'aider jusqu'à un certain point. Car, à force de jouer arrogamment avec les feux de l'enfer, il va finir par se brûler et s'écorcher vif. Mais, tout au long du roman et jusqu'à la toute fin, il ne saura pas qu'il ne sait pas qu'il ne sait pas. Il sera déjà trop tard étant donné qu'il aura atteint le point de non retour. Va-t-il en survivre et comment? Surtout que, selon l'opinion de celui qui joue le rôle de Mage de la garde rapprochée d'Amilcar Ramirango, il se détourne de plus en plus de la voie vers le pouvoir convenue au départ! Le Mage, c'est Habibou Rangola, un futé Colonel de la gendarmerie nationale en situation de disponibilité et ami proche d'Amilcar Ramirango. C'est le deuxième personnage du roman.
Finir l'écriture d'un livre, c'est comme mourir pour de vrai dans un grand brasier et renaître de ses cendres à la fin de tout le cheminement! Comme l'oiseau mythique qu'est le Phénix!
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