Je me suis d'abord bien accroché à l'idée de départ qui flottait déjà dans ma tête en finissant «L'Absurdistan? Ici l'enfer 261!». Mais cela ne suffisait pas pour en faire un roman et je le savais. J'ai travaillé ensuite sur moi, pour que cette idée de départ s'équilibre et s'incruste confortablement dans les dédales de mes souvenirs. Et je suis allé aussi loin qu'en 1974, l'année où j'ai commencé à écrire sur toutes sortes de sujets et pour toutes sortes de raisons. Lorsque j'ai senti que la trilogie entre ma tête, mon coeur et mes mains commençait à bien fonctionner, je me suis mis devant mon ordinateur. De cet instant jusqu'à la fin du premier jet, je n'ai fait que suivre le flot impétueux entre ma tête, mon coeur et mes mains. Le désir de ne pas être bon mais d'être vrai jusqu'au bout de cette quête, tantôt douce, tantôt douloureuse, très même, dans les plus profonds de moi-même m'a amené à «Nuances du mal».
«Nuances du mal» est, et j'en suis fier, inspiré de faits réels. Par contre, tous les personnages sont complètement fictifs et n'ont, de près ou de loin, aucune relation avec des personnes, vivantes ou mortes. Ils sortent directement tous de mon imagination débordante. Toute ressemblance n'est que pure coïncidence.
Jean Razafindambo
Ancien journaliste et auteur
Pour lire l'entrevue avec Maminirina Rado, un journaliste de Midi Madagasikara, cliquer sur le lien suivant : https://midi-madagasikara.mg/jean-razafindambo-romancier-la-pauvrete-est-manufacturee-par-la-maniere-de-faire-de-la-politique/
Vous pouvez maintenant vous procurer les deux romans qui ont été publiés par l'auteur en suivant le lien :
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